Contribution n°29 (Web)
Déposée le 25 septembre 2022 à 18h19
Réponses apportées
Cette observation n'appelle pas de réponse.
Contribution n°28 (Web)
Déposée le 25 septembre 2022 à 17h20
Réponses apportées
La dérogation à la stricte protection des espèces protégées est encadrée par les dispositions du code de l'environnement. La procédure engagée s'inscrit strictement dans le cadre fixé par le législateur.
Les mesures de publicité sont conformes aux textes réglementaires. Celles-ci ont par ailleurs été complétées par une réunion publique et une permanence conformément aux recommandations du garant.
S'agissant du choix du site. Le projet a fait l’objet d’une procédure de concertation publique préalable. La concertation publique préalable a permis de débattre de l’opportunité, des objectifs et des caractéristiques principales du projet. Le bilan du garant, désigné par la Commission nationale du débat public (CNDP), et la réponse de l’APIJ, sont joints au dossier soumis à la présente consultation.
Le projet a été déclaré d’utilité publique par arrêté préfectoral. Un exposé des motifs et considération justifiant l’utilité publique du projet est annexé à l’arrêté de DUP, emportant mise en compatibilité des documents d'urbanisme (PLU/MEC) et intégré dans le dossier soumis à la présente consultation.
Contribution n°27 (Web)
Déposée le 25 septembre 2022 à 16h19
Réponses apportées
Le dossier de dérogation déposé par l’APIJ présente l’état initial du site et développe les mesures proposées qui permettent d’éviter, de réduire ou de compenser les impacts sur les espèces protégées identifiées sur le périmètre de l’opération. Elles sont présentées en détail dans le dossier de dérogation à la stricte protection des espèces protégées (PIECE C) et dans le dossier d'étude d'impact (PIECE D).
Ces mesures visent à éviter les atteintes, à réduire celles qui n’ont pu être suffisamment évitées et, si possible, à compenser les effets notables qui n’ont pu être ni évitées, ni suffisamment réduits. La démarche de l’APIJ s’inscrit pleinement dans le cadre de la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages qui fixe pour objectif l’absence de perte nette, voire de gain de biodiversité.
La dérogation à la stricte protection des espèces protégées est encadrée par les dispositions du code de l'environnement.
La procédure engagée s'inscrit strictement dans le cadre fixé par le législateur.
Contribution n°26 (Web)
Déposée le 25 septembre 2022 à 15h57
Réponses apportées
Le dossier de dérogation déposé par l’APIJ présente l’état initial du site et développe les mesures proposées qui permettent d’éviter, de réduire ou de compenser les impacts sur les espèces protégées identifiées sur le périmètre de l’opération. Elles sont présentées en détail dans le dossier de dérogation à la stricte protection des espèces protégées (PIECE C) et dans le dossier d'étude d'impact (PIECE D).
Ces mesures visent à éviter les atteintes, à réduire celles qui n’ont pu être suffisamment évitées et, si possible, à compenser les effets notables qui n’ont pu être ni évitées, ni suffisamment réduits. La démarche de l’APIJ s’inscrit pleinement dans le cadre de la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages qui fixe pour objectif l’absence de perte nette, voire de gain de biodiversité.
La dérogation à la stricte protection des espèces protégées est encadrée par les dispositions du code de l'environnement.
La procédure engagée s'inscrit strictement dans le cadre fixé par le législateur.
Contribution n°25 (Web)
Déposée le 25 septembre 2022 à 15h46
Non à la prison de Muret et à toutes les autres.
Réponses apportées
Le dossier de dérogation déposé par l’APIJ présente l’état initial du site et développe les mesures proposées qui permettent d’éviter, de réduire ou de compenser les impacts sur les espèces protégées identifiées sur le périmètre de l’opération. Elles sont présentées en détail dans le dossier de dérogation à la stricte protection des espèces protégées (PIECE C) et dans le dossier d'étude d'impact (PIECE D).
Ces mesures visent à éviter les atteintes, à réduire celles qui n’ont pu être suffisamment évitées et, si possible, à compenser les effets notables qui n’ont pu être ni évitées, ni suffisamment réduits. La démarche de l’APIJ s’inscrit pleinement dans le cadre de la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages qui fixe pour objectif l’absence de perte nette, voire de gain de biodiversité
Contribution n°24 (Web)
Déposée le 25 septembre 2022 à 11h34
Destruction flore et faune qui vit dans un écosystème
Nuisances habitations, passage routier augmentation possible d’accidents de la circulation
Proche aerodrome zone baignade (muret plage)
Réponses apportées
Le projet a fait l’objet d’une procédure de concertation publique préalable. La concertation publique préalable a permis de débattre de l’opportunité, des objectifs et des caractéristiques principales du projet. Le bilan du garant, désigné par la Commission nationale du débat public (CNDP), et la réponse de l’APIJ, sont joints sont joints au dossier soumis à la présente consultation.
Le dossier de dérogation (PIECE C - 4.3) et l’étude d’impact du projet (PIECE D), jointes au présent dossier (PIECE D), reviennent sur le choix de localisation et d’implantation de l’établissement pénitentiaire.
Concernant la demande de dérogation, le dossier déposé par l’APIJ présente l’état initial du site et développe les mesures proposées qui permettent d’éviter, de réduire ou de compenser les impacts sur les espèces protégées identifiées sur le périmètre de l’opération. Elles sont présentées en détail dans le dossier de dérogation à la stricte protection des espèces protégées (PIECE C) et dans le dossier d'étude d'impact (PIECE D).
Ces mesures visent à éviter les atteintes, à réduire celles qui n’ont pu être suffisamment évitées et, si possible, à compenser les effets notables qui n’ont pu être ni évitées, ni suffisamment réduits. La démarche de l’APIJ s’inscrit pleinement dans le cadre de la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages qui fixe pour objectif l’absence de perte nette, voire de gain de biodiversité.
Le projet porté par l'APIJ est soumis à évaluation environnementale. L'évaluation environnementale est un processus qui comprend notamment l'élaboration d'un rapport d'évaluation des incidences sur l'environnement (étude d'impact). L'étude d'impact comprend ainsi les mesures envisagées pour éviter, réduire et lorsque c'est possible compenser les incidences négatives notables du projet sur l'environnement ou la santé humaine. Les mesures sont reprises dans l'autorisation et font l'objet d'un suivi par l'autorité compétente.
Contribution n°23 (Web)
Déposée le 25 septembre 2022 à 10h18
Bien que le Commissaire Enquêteur ait donné un avis défavorable à la DUP, à la MEC du Scot, d'une part, et du PLU d'autre part, le Préfet a signé la DUP.
A quoi servent les enquêtes publiques lorsque l'État a décidé que l'opération doit être réalisée ?
A rien, simple simulacre de respect des lois et règlements !
Réponses apportées
L'exposé des motifs et considérations joint à l'arrêté préfectoral déclarant l'utilité publique du projet développe les réponses apportées aux avis émis (commissaire enquêteur, collectivités et groupements intéressés notamment). Il résulte des éléments développés dans ce document que ni les atteintes à la propriété privée induites par le projet, ni son coût financer, ni les inconvénients que celui-ci comporte ne sont excessifs, eu égard aux intérêts que l'opération présente. C'est sur ce constat que le préfet du département de Haute-Garonne a justifié le caractère d'utilité publique du projet. L'arrêté préfectoral est consultable sur le site internet de la préfecture de Haute-Garonne.
Contribution n°22 (Web)
Déposée le 24 septembre 2022 à 23h52
Réponses apportées
Cette observation n'appelle pas de réponse.
Contribution n°21 (Web)
Déposée le 24 septembre 2022 à 23h19
Compte tenu des conséquence de l'artificialisation des sols sur le réchauffement climatique, il est impossible pour quel projet que ce soit de déroger aux études environnementales.
Le futur projet de prison doit faire l'objet d'études d'impacts.
Cdt.
Yannick FARAGOU
Réponses apportées
Le projet est soumis à évaluation environnementale et fait ainsi l'objet d'une étude d'impact.
Le dossier déposé par l’APIJ présente l’état initial du site et développe les mesures proposées qui permettent d’éviter, de réduire ou de compenser les impacts sur les espèces protégées identifiées sur le périmètre de l’opération. Elles sont présentées en détail dans le dossier de dérogation à la stricte protection des espèces protégées (PIECE C) et dans le dossier d'étude d'impact (PIECE D). Ce dossier s'inscrit dans les dispositions prévues par l'article L.411-2 du code de l'environnement.
Ces mesures visent à éviter les atteintes, à réduire celles qui n’ont pu être suffisamment évitées et, si possible, à compenser les effets notables qui n’ont pu être ni évitées, ni suffisamment réduits. La démarche de l’APIJ s’inscrit pleinement dans le cadre de la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages qui fixe pour objectif l’absence de perte nette, voire de gain de biodiversité.
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 24 septembre 2022 à 19h24
Réponses apportées
Le dossier déposé par l’APIJ présente l’état initial du site et développe les mesures proposées qui permettent d’éviter, de réduire ou de compenser les impacts sur les espèces protégées identifiées sur le périmètre de l’opération. Elles sont présentées en détail dans le dossier de dérogation à la stricte protection des espèces protégées (PIECE C) et dans le dossier d'étude d'impact (PIECE D).
Ces mesures visent à éviter les atteintes, à réduire celles qui n’ont pu être suffisamment évitées et, si possible, à compenser les effets notables qui n’ont pu être ni évitées, ni suffisamment réduits. La démarche de l’APIJ s’inscrit pleinement dans le cadre de la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages qui fixe pour objectif l’absence de perte nette, voire de gain de biodiversité.
La dérogation à la stricte protection des espèces protégées est encadrée par les dispositions du code de l'environnement. La procédure engagée s'inscrit strictement dans le cadre fixé par le législateur.