Les contributions

Contribution n°189 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 octobre 2022 à 14h22
"MAÎTRISER l’urbanisation : faire fructifier le capital naturel et agricole, bien commun du territoire (..) Cette organisation a pour vocation de garantir la pérennité des espaces naturels et agricoles..". Voilà ce que cite le ScoT de la grande agglomération toulousaine de 2015, encore en vigueur, qui cite les grands objectifs urbanistiques visés par les politiques de la métropole. Face à la destruction des espaces naturels que cause ce projet, il serait bien de remettre en question l'impact de la construction d'une troisième prison dans cet espace naturel et à dominante agricole à Muret. Ce projet doit être révisé !

Document joint

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h40
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°188 (Web)

Par Association CESAAM
Déposée le 14 octobre 2022 à 14h00
A l'attention de Mme Auzet, de Mme Goreth, de M. Amat, de M. Bordes, de M. Colin, de M. Janin , de L'APIJ,
de M. le Préfet du département Haute-Garonne et de la région Occitanie,
et de M. le Garde des Sceaux de la République française

L'association CESAAM, citoyennes et citoyens pour l'écologie et la solidarité à et autour de Muret, s'oppose avec la plus grande fermeté au projet de prison porté actuellement par l'institution judiciaire sur la commune de Muret.
Les 17 hectares du terrain visé sont une zone vivante, cultivée et habitée à défendre contre la destruction du sol.
Ces friches et bosquets, sans intervention humaine depuis plus de 20 ans, sont riches d'au moins 60 espèces vivantes qui sont strictement protégées, et doivent le rester.
Ces terres agricoles sont riches du potentiel alimentaire plus que jamais indispensable dans le contexte actuel, et doivent être préservées.
Ces terres sont des lieux de vie pour des citoyens qui ne doivent pas être expropriés, et leur dignité d'habitants doit être considérée.
Des raisons purement idéologiques président à cette bétonisation absurde ; alors que s'accumulent les recommandations des autorités environnementales pour valoriser la biodiversité, alors que ce projet ne cesse de susciter réserves, avis défavorables et désapprobations, il est temps de mettre un terme à l'artificialisation dont nos enfants auront à subir les conséquences les plus graves.
CESAAM se doit de défendre le droit de nos enfants à vivre dans un monde où la nature continue à leur assurer de bonnes conditions de vie.

Au nom du bien commun, que la dérogation demandée ne soit pas accordée.

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h40
Cette observation n’appelle pas de réponse.

Contribution n°187 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 octobre 2022 à 13h21
Vous trouverez en PJ un document contre ce projet

Document joint

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h41
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°186 (Web)

Par Cucchi Anne Mazrie
Déposée le 14 octobre 2022 à 12h41
Veuillez trouver en Pièces jointes le document
Cordialement

Document joint

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h41
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°185 (Web)

Par Arolfo-Szentesi Lilla
Déposée le 14 octobre 2022 à 10h03
Je suis contre la construction de l’établissement pénitentiaire.

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h42
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°184 (Web)

Par MUR PATRICE
Déposée le 14 octobre 2022 à 09h18
Contre la construction d'une troisième prison sur Muret, projet écocide car amputant à la ville et citoyens une zone naturelle de 17.5 ha.
Contre le béton mais pour la préservation des terres agricoles.
En ces temps d'incertitudes dues au dérèglement climatique et à cette guerre toute proche, est-ce responsable de détruire des terres agricoles?
Est-ce responsable d'accabler la biodiversité, les friches support de nidation et migration d'oiseaux et autres?
Est-ce responsable de ne pas chercher des alternatives et construire sur des terrains sans zone naturelle?
Ce projet démontre l'absence honteuse et crasse de toute prise de conscience de l'état et de ses agents/sbires complices de cette décadence annoncée à grand cri par le G.I.E.C et autres associations environnementales.
Bref je suis résolument contre, et d'observer votre inaction et bêtise me fait penser que des réactions violentes peuvent en découler en réaction à la violence écologique que vous imposez aux citoyens.

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h45
Le projet a fait l’objet d’une procédure de concertation publique préalable. La concertation publique préalable a permis de débattre de l’opportunité, des objectifs et des caractéristiques principales du projet. Le bilan du garant, désigné par la Commission nationale du débat public (CNDP), et la réponse de l’APIJ, sont joints sont joints au dossier soumis à la présente consultation.

Le dossier de dérogation (PIECE C - 4.3) et l’étude d’impact du projet (PIECE D), jointes au présent dossier (PIECE D), reviennent sur le choix de localisation et d’implantation de l’établissement pénitentiaire.

l’APIJ rappelle que le projet a été déclaré d’utilité publique par arrêté préfectoral. Un exposé des motifs et considération justifiant l’utilité publique du projet est annexé à l’arrêté de DUP, emportant mise en compatibilité des documents d'urbanisme (PLU/MEC) et intégré dans le dossier soumis à la présente consultation.

Contribution n°183 (Web)

Par Montaubric Gisèle
Déposée le 14 octobre 2022 à 01h02
Implanter un nouvel établissement pénitentiaire sur 17,5 ha de terres agricoles est absolument insensé!

Il est désormais incontestable que les modifications climatiques et le réchauffement de la planète sont liés à la prédation humaine sur son environnement naturel. En tout premier lieu l'artificialisation des sols, empêchant l'infiltration de l'eau, et engendrant une montée significative des températures. Sans compter les conséquences dévastatrices de cette artificialisation sur la biodiversité de la faune et de la flore. La protection des milieux naturels d'origine et des espaces agricoles est d'une urgence vitale absolue. Nul ne peut plus le contester à ce jour.

Par ailleurs, il devient urgent de penser à mettre en œuvre d'autres réponses que l'incarcération comme sanctions judiciaires. La prison a-t'elle permis de diminuer les taux de crimes et de délinquances? N'a-t'elle pas au contraire très souvent aggravé les malaises? Ne doit-on pas investir davantage dans la prévention, à tous les niveaux?

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h45
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°182 (Web)

Anonyme
Déposée le 13 octobre 2022 à 23h19
Je m'oppose au projet.

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h46
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°181 (Web)

Anonyme
Déposée le 13 octobre 2022 à 23h03
Je suis totalement opposée à cette nouvelle prison sur Muret.
A l’heure où nous sommes à la recherche de l’autosuffisance alimentaire, devons-nous encore détruire des terres agricoles au profit du béton.
Que les personnes qui prennent ces décisions sur le papier, descendent de leur tour d’argent et viennent voir les dégâts que cela engendrerait sur notre habitat, sur les animaux, la faune, la flore
Chers messieurs, dames, qui décident d’un tel projet, voulez-vous, voir disparaitre des espèces rares d’animaux et de plantes, détourner des cours d’eau et aller contre nature.
Cette zone est classée Natura 2000, et vous voulez la détruire avec votre béton, le trafic routier associé, la pollution visuelle et sonore.
Il a été évoqué de déplacer les animaux sur un autre site… mais quelle aberration !
Qui peut croire un instant que ces animaux sortis de leur habitat pourront survivre l’espace de quelques jours.
Dans le contexte actuel de changement climatique, nous devons tous être acteur de notre vie et protéger ce que nous offre le monde.
Réfléchissez sérieusement à vos actes et aux futurs que vous voulez donner à nos enfants !
Je ne comprends pas pourquoi ce projet est encore d’actualité si un avis défavorable a été émis par le commissaire enquêteur. Ce rapport a-t-il seulement été lu par les personnes décisionnaires ?
A qui ou à quoi cette enquête a-t-elle servi ?
N’avons-nous pas mieux à faire avec ces millions d’euros…

NON A CETTE PRISON!!!!!!!!!!!!!

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h47
Le projet a fait l’objet d’une procédure de concertation publique préalable. La concertation publique préalable a permis de débattre de l’opportunité, des objectifs et des caractéristiques principales du projet. Le bilan du garant, désigné par la Commission nationale du débat public (CNDP), et la réponse de l’APIJ, sont joints sont joints au dossier soumis à la présente consultation.

Le dossier de dérogation (PIECE C - 4.3) et l’étude d’impact du projet (PIECE D), jointes au présent dossier (PIECE D), reviennent sur le choix de localisation et d’implantation de l’établissement pénitentiaire.

l’APIJ rappelle que le projet a été déclaré d’utilité publique par arrêté préfectoral. Un exposé des motifs et considération justifiant l’utilité publique du projet est annexé à l’arrêté de DUP, emportant mise en compatibilité des documents d'urbanisme (PLU/MEC) et intégré dans le dossier soumis à la présente consultation.

Contribution n°180 (Web)

Par Eau Secours 31
Déposée le 13 octobre 2022 à 23h00
Au regard des préoccupations de notre association,portant sur la question de l’Eau , dans tous ces états et dans tous les milieux, nous regrettons que que le traitement de cette question primordiale soit « saucissonné « dans des procédures séparées et soit repoussé à une « tranche « ultérieure lorsque le projet sera finalisé !
Pour autant, y compris au premier degré,ne faudrait-il pas prendre ces questions des espèces protégées et de l’eau en même temps, sauf à considérer que les sols sont stériles ?
L’urbanisation et l’artificialisation des sols démesurées empêchent le transit naturel et efficace ds eaux dans nos sols, ainsi ces modifications ne font qu’aggraver les pénuries d’eau et les dégâts écologiques. Sans être ralentie, retenue, l’eau circule trop vite pour être absorbée et s’infiltrer afin de s’impliquer dans la vie du sol et contribuer efficacement à la recharge des nappes phréatiques.

Ainsi les 17 ha de terres fertiles seront soustraits à ces fonctions vitales, par leur caractère «bétonné» dans une zone où les nappes phréatiques sont déjà de mauvaises qualités et en conséquence vont porter atteinte aux espèces vivantes et protégées.
Par ailleurs le rapport de l’IUCN (Union internationale de conservation de la nature)précise que :
« En supprimant les milieux naturels d’origine, l'artificialisation contribue à fragmenter les écosystèmes ce qui impacte les populations d’espèces vivant dans ces milieux , notamment pour leur déplacement » (Rapport de l’IUCN )
17,6 % des espèces animales et végétales étudiées sont maintenant menacées d’extinction en France. Parmi lesquelles, 187 ont déjà disparu.
L’artificialisation des sols non seulement empêche les eaux de pluie de pénétrer dans les sols mais porte donc atteinte à toutes les espèces et contribue à leur disparition. Nous ne pouvons plus nous permettre de réduire le nombre d’espèces et encore moins de réduire le nombre d’espèces protégées.

C’est pourquoi nous sommes opposés à l’intention de permettre par voie de dérogation préfectorale la destruction d’espèces protégées telles que présentés dans les documents sur ce site internet de participation populaire concernant le projet de nouvelles prison sur la commune de Muret.

Eau Secours 31
Toulouse

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h47
Cette observation n'appelle pas de réponse.

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