Les contributions

Contribution n°179 (Web)

Anonyme
Déposée le 13 octobre 2022 à 22h59
Je trouve que ce projet ne devrait pas avoir lieu sur ce site et privilégier la préservation de cette nature il y a d'autres lieux adaptés

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h48
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°178 (Web)

Anonyme
Déposée le 13 octobre 2022 à 22h33
Je m'oppose à la construction de ce Centre pénitentiaire. J ai choisi d'habiter à Labastidette pour le calme de la campagne, le paysage, la nature. Chaque jour j admire les différentes espèces d oiseaux, les chevreuils, sanglier... j'admire et observe le ciel le soir. Un Havre de paix, le bonheur d'être au calme et face à une belle nature. Demain, nous serons confrontés au bruit et à la disparition de ces animaux qui n'auront plus le droit d'être chez eux. Je ne comprends pas comment on arrive à nous faire des leçons de moral sur l environnement et là on s'en fichtre de détruire la faune et la flore. C'est écœurant !!

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h48
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°177 (Web)

Par Dumas jean louis
Déposée le 13 octobre 2022 à 21h48
Je suis défavorable à ce projet
Destructeur de l'environnement
Accentuant le tout carcéral qui singularise notre pays souvent condamné pour la situation des prisons en France.
Cette prison pas encore construite est déjà en surpopulation

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h48
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°176 (Web)

Anonyme
Déposée le 13 octobre 2022 à 21h14
La biodiversité a besoin d’être protégée pas détruite !!!

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h49
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°175 (Web)

Par Marie-Françoise
Déposée le 13 octobre 2022 à 21h09
En supprimant les milieux naturels d’origine, l'artificialisation contribue à fragmenter les écosystèmes ce qui impacte les populations d’espèces vivant dans ces milieux , notamment pour leur déplacement » (Rapport de l’IUCN (
17,6 % des espèces animales et végétales étudiées sont maintenant menacées d’extinction en France. Parmi lesquelles, 187 ont déjà disparu.
L’artificialisation des sols non seulement empêche les eaux de pluie de pénétrer dans les sols mais porte donc atteinte à toutes les espèces et contribue à leur disparition. Nous ne pouvons plus nous permettre de réduire le nombre d’espèces et encore moins de réduire le nombre d’espèces protégées.

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 17h49
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°174 (Web)

Par Graciet Marie
Déposée le 13 octobre 2022 à 21h00
Au regard des préoccupations de notre association,portant sur la question de l’Eau , dans tous ces états et dans tous les milieux, [...]
Au regard des préoccupations de notre association,portant sur la question de l’Eau , dans tous ces états et dans tous les milieux, nous regrettons que que le traitement de cette question primordiale soit « saucissonné « dans des procédures séparées et soit repoussé à une « tranche « ultérieure lorsque le projet sera finalisé !
Pour autant, y compris au premier degré,ne faudrait-il pas prendre ces questions des espèces protégées et de l’eau en même temps, sauf à considérer que les sols sont stériles ?
L’urbanisation et l’artificialisation des sols démesurées empêchent le transit naturel et efficace ds eaux dans nos sols, ainsi ces modifications ne font qu’aggraver les pénuries d’eau et les dégâts écologiques. Sans être ralentie, retenue, l’eau circule trop vite pour être absorbée et s’infiltrer afin de s’impliquer dans la vie du sol et contribuer efficacement à la recharge des nappes phréatiques.

Ainsi les 17 ha de terres fertiles seront soustraits à ces fonctions vitales, par leur caractère «bétonné» dans une zone où les nappes phréatiques sont déjà de mauvaises qualités et en conséquence vont porter atteinte aux espèces vivantes et protégées.
Par ailleurs le rapport de l’IUCN (Union internationale de conservation de la nature)
Précise que :
« En supprimant les milieux naturels d’origine, l'artificialisation contribue à fragmenter les écosystèmes ce qui impacte les populations d’espèces vivant dans ces milieux , notamment pour leur déplacement » (Rapport de l’IUCN (
17,6 % des espèces animales et végétales étudiées sont maintenant menacées d’extinction en France. Parmi lesquelles, 187 ont déjà disparu.
L’artificialisation des sols non seulement empêche les eaux de pluie de pénétrer dans les sols mais porte donc atteinte à toutes les espèces et contribue à leur disparition. Nous ne pouvons plus nous permettre de réduire le nombre d’espèces et encore moins de réduire le nombre d’espèces protégées.

C’est pourquoi je suis opposée à l’intention de permettre par voie de dérogation préfectorale la destruction d’espèces protégées telles que présentés dans les documents sur ce site internet de participation populaire concernant le projet de nouvelles prison sur la commune de Muret.

Contribution n°173 (Web)

Par Mech Clara
Déposée le 13 octobre 2022 à 18h49
Je suis contre ce projet de construction en raison de son impact environnemental.

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APIJ le 10 novembre 2022 à 17h53
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°172 (Web)

Anonyme
Déposée le 13 octobre 2022 à 17h58
Habitant Muret et soucieuse du bien être de chacun et de la préservation de notre environnement, je souhaite que le projet de construction de la prison, en état, soit annulé pour le projet initial.

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 18h07
Cette observation n'appelle pas de réponse.

Contribution n°171 (Web)

Par laurent
Déposée le 13 octobre 2022 à 17h37
La politique de l'invraisemblable ou comment aller dans le mur (de la prison).
A prés la disparition programmée des terres agricoles sur la ZAC des Pyrénées c'est maintenant 17.5 ha actuellement exploités qui devraient disparaître du territoire si ce projet fou devait être mené à terme. Qu'allons nous laisser à nos enfants en cette période si trouble où les enjeux environnementaux n'ont jamais été aussi cruciaux. En moins de 50 ans c'est 68% des populations de vertébrés mondiales qui ont disparus et sous prétexte de DUP, fort de ce constat, l'état poursuit sa politique de bétonnage arguant quelques mesurettes environnementales compensatoires digne des plus grands lobbyings, qui ne sont en fait que de l'enfumage.
17.5 ha c'est la surface nécessaire pour approvisionner la cantine centrale de l'agglo en légume , 17.5ha c'est des générations d'agriculteurs qui ont travaillé la terre, préservé les paysages, participé à l'attractivité du territoire. Perdre ainsi 17.5 ha de biodiversité est un luxe aujourd'hui en 2022 que l'on ne peut plus se permettre au regard du changement climatique en cours.
30 jours c'est le temps que les muretains auront eu pour qu'ils expriment leurs avis sur cette ineptie, permettant au représentant de l'état, de s'acheter une bonne conscience et malgré le désaccord de tout le monde sur ce dossier, de sceller le destin de cette zone à grand coup de DUP. A vous donc Mr le commissaire enquêteur d'être le porte voix des muretains et de ne pas cautionner ce simulacre de démocratie en pensant à nos ainés qui ont œuvré sur ce territoire et à nos enfants qui en profiteront demain.

Laurent Clavié
Agriculteur bio sur le muretain depuis 2009

Réponse apportée

APIJ le 15 novembre 2022 à 13h19
S'agissant de l'incidence du projet sur la production agricole et même si l'objet de cette PPVE ne porte pas sur cet objet, l'APIJ souhaite rappeler que le projet est soumis à étude d'impact agricole conformément à l'Art. L. 112-1-3 du code rural (PIECE D - 5.3.13).

Contribution n°170 (Web)

Par BUORO Marjorie
Déposée le 13 octobre 2022 à 16h33
Je suis défavorable à ce projet qui va à l'encontre de la protection de l'environnement en détruisant une zone importante de biodiversité et qui va bouleverser l'éco système du territoire.

Réponse apportée

APIJ le 10 novembre 2022 à 18h12
Cette observation n'appelle pas de réponse.

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