Contribution n°179 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 22h59
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Cette observation n'appelle pas de réponse.
Contribution n°178 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 22h33
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Contribution n°177 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 21h48
Destructeur de l'environnement
Accentuant le tout carcéral qui singularise notre pays souvent condamné pour la situation des prisons en France.
Cette prison pas encore construite est déjà en surpopulation
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Contribution n°176 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 21h14
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Contribution n°175 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 21h09
17,6 % des espèces animales et végétales étudiées sont maintenant menacées d’extinction en France. Parmi lesquelles, 187 ont déjà disparu.
L’artificialisation des sols non seulement empêche les eaux de pluie de pénétrer dans les sols mais porte donc atteinte à toutes les espèces et contribue à leur disparition. Nous ne pouvons plus nous permettre de réduire le nombre d’espèces et encore moins de réduire le nombre d’espèces protégées.
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Contribution n°174 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 21h00
Pour autant, y compris au premier degré,ne faudrait-il pas prendre ces questions des espèces protégées et de l’eau en même temps, sauf à considérer que les sols sont stériles ?
L’urbanisation et l’artificialisation des sols démesurées empêchent le transit naturel et efficace ds eaux dans nos sols, ainsi ces modifications ne font qu’aggraver les pénuries d’eau et les dégâts écologiques. Sans être ralentie, retenue, l’eau circule trop vite pour être absorbée et s’infiltrer afin de s’impliquer dans la vie du sol et contribuer efficacement à la recharge des nappes phréatiques.
Ainsi les 17 ha de terres fertiles seront soustraits à ces fonctions vitales, par leur caractère «bétonné» dans une zone où les nappes phréatiques sont déjà de mauvaises qualités et en conséquence vont porter atteinte aux espèces vivantes et protégées.
Par ailleurs le rapport de l’IUCN (Union internationale de conservation de la nature)
Précise que :
« En supprimant les milieux naturels d’origine, l'artificialisation contribue à fragmenter les écosystèmes ce qui impacte les populations d’espèces vivant dans ces milieux , notamment pour leur déplacement » (Rapport de l’IUCN (
17,6 % des espèces animales et végétales étudiées sont maintenant menacées d’extinction en France. Parmi lesquelles, 187 ont déjà disparu.
L’artificialisation des sols non seulement empêche les eaux de pluie de pénétrer dans les sols mais porte donc atteinte à toutes les espèces et contribue à leur disparition. Nous ne pouvons plus nous permettre de réduire le nombre d’espèces et encore moins de réduire le nombre d’espèces protégées.
C’est pourquoi je suis opposée à l’intention de permettre par voie de dérogation préfectorale la destruction d’espèces protégées telles que présentés dans les documents sur ce site internet de participation populaire concernant le projet de nouvelles prison sur la commune de Muret.
Contribution n°173 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 18h49
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Contribution n°172 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 17h58
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Contribution n°171 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 17h37
A prés la disparition programmée des terres agricoles sur la ZAC des Pyrénées c'est maintenant 17.5 ha actuellement exploités qui devraient disparaître du territoire si ce projet fou devait être mené à terme. Qu'allons nous laisser à nos enfants en cette période si trouble où les enjeux environnementaux n'ont jamais été aussi cruciaux. En moins de 50 ans c'est 68% des populations de vertébrés mondiales qui ont disparus et sous prétexte de DUP, fort de ce constat, l'état poursuit sa politique de bétonnage arguant quelques mesurettes environnementales compensatoires digne des plus grands lobbyings, qui ne sont en fait que de l'enfumage.
17.5 ha c'est la surface nécessaire pour approvisionner la cantine centrale de l'agglo en légume , 17.5ha c'est des générations d'agriculteurs qui ont travaillé la terre, préservé les paysages, participé à l'attractivité du territoire. Perdre ainsi 17.5 ha de biodiversité est un luxe aujourd'hui en 2022 que l'on ne peut plus se permettre au regard du changement climatique en cours.
30 jours c'est le temps que les muretains auront eu pour qu'ils expriment leurs avis sur cette ineptie, permettant au représentant de l'état, de s'acheter une bonne conscience et malgré le désaccord de tout le monde sur ce dossier, de sceller le destin de cette zone à grand coup de DUP. A vous donc Mr le commissaire enquêteur d'être le porte voix des muretains et de ne pas cautionner ce simulacre de démocratie en pensant à nos ainés qui ont œuvré sur ce territoire et à nos enfants qui en profiteront demain.
Laurent Clavié
Agriculteur bio sur le muretain depuis 2009
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S'agissant de l'incidence du projet sur la production agricole et même si l'objet de cette PPVE ne porte pas sur cet objet, l'APIJ souhaite rappeler que le projet est soumis à étude d'impact agricole conformément à l'Art. L. 112-1-3 du code rural (PIECE D - 5.3.13).
Contribution n°170 (Web)
Déposée le 13 octobre 2022 à 16h33
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